Pas facile la ville, pas facile d’échapper à la différence, pas facile de jouer l’indifférence, pas facile de garder ses distances, pas facile de regarder, pas facile de montrer.
En cliquant sur les photos, vous serez redirigés vers Flickr où vous pourrez voir les autres photos un peu moins tristes.
Quelle faune !
Pas facile !…
Scènes de rue devenues tellement courantes….ton commentaire décrit si finement tout ce qui se passe dans notre tête dans ces cas là…gros gros bisous de la rose et du papet
en découvrant ces photos on a envie de crier « Injustice » on devrait les afficher partout, c’est courageux de ta part d’oser nous aider à prendre conscience.
effectivement, tes photos , cher Stef,me semblent etre en accord avec cette déclaration de P. Klee » l’art ne reproduit pas le visible , il rend visible »
point de vue opposé ou complémentaire ? : tu me trouveras certainement excessif cher Stef, mais en regardant tes photos « en grand » j’ai eu comme un choc qui m’a laissé perplexe : les différents gris, la lumière m’ont soudainement parus palpables, comme matériels !
Cela m’a fait penser ( histoire de rester en mode « citation » et aussi de faire un clin d’oeil taquin à Pti’te Marie) à cette déclaration de J .Miro :
« une matière riche et vigoureuse me parait nécessaire pour donner au spectateur un coup en plein visage avant que la réflexion n’intervienne ».
Merci Vivi pour tes commentaires inspirants et documentés. On m’a parlé de mes cadrages soignés, et j’ai répondu « c’est vrai que j’aime les cadrages soignés, je suis presque maniaque par rapport aux verticales et j’ajuste le cadre au millimètre tout en respectant le rapport 24*36. ». Tu me parles des gris et de la matière et c’est vrai que dans ce domaine également j’ai mes petites manies et j’essaie de donner la bonne exposition au sujet principal tout en protégeant les ombres et les hautes lumières de l’image. Ca fait parti du travail et du plaisir du photographe amateur. J’adore les gris et la matière.