Y a pas que la rue

Quand je suis dans la rue, je suis à l’affût, prêt à déclencher sans même avoir le temps de viser, la scène est vue dans son ensemble, les réglages sont prédéfinis, l’ajustement du cadrage se fait au développement.
Quand je suis dans la nature,  j’ai le temps de choisir un point de vue, de régler l’exposition, de composer une image, d’ajuster la mise au point, de vérifier si tout est bien. Je n’arrive pas à déclencher, perdu dans cette infinité.

(cliquez sur les photos pour les agrandir)

En hiver
on y voit au travers
alors qu’en été
c’est complètement bouché

 

9 réflexions sur « Y a pas que la rue »

  1. blague à part ,c’est superbe et il faut croire que contrairement à ce que tu dis , tu arrives à « déclencher » même en situation à haut risque ,car « qu’est ce que c’est dur ,les sous bois » !

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