Quand je suis dans la rue, je suis à l’affût, prêt à déclencher sans même avoir le temps de viser, la scène est vue dans son ensemble, les réglages sont prédéfinis, l’ajustement du cadrage se fait au développement.
Quand je suis dans la nature, j’ai le temps de choisir un point de vue, de régler l’exposition, de composer une image, d’ajuster la mise au point, de vérifier si tout est bien. Je n’arrive pas à déclencher, perdu dans cette infinité.
(cliquez sur les photos pour les agrandir)
En hiver
on y voit au travers
alors qu’en été
c’est complètement bouché
Le dernier texte en forme de poème est simple mais efficace…
dire
que tout ça
c’est derrière chez moi
Le bois de Sainghin ? Je ne l’avais jamais imaginé magique… C’est une baguette que tu as dans les mains ? 🙂 bravo Papa !!!
C’est mignon !
a couper le souffle, c’est magique !
C’est magnifique !
Est-ce plus beau qu’en vrai ? 🙂
C’est comme en vrai, mis à part que c’est encadré.
Trop modeste. En vrai c’est beau mais en photo c’est moche. Sauf si on est talentueux.
Le noir et blanc
C’est pour les passants
Et la couleur
C’est pour les promeneurs….
blague à part ,c’est superbe et il faut croire que contrairement à ce que tu dis , tu arrives à « déclencher » même en situation à haut risque ,car « qu’est ce que c’est dur ,les sous bois » !